Si lors de cette PGW 2019 vous êtes baladés au fun du hall 3 (celui dédié à l’esport), vous avez trouvé un stade bien surprenant pour lesvisiteurs, nommé Esports Virtual Arenas, ou EVA. Ni ordinateurs ni consoles à première vue mais une arène au sens propre du terme, de 200 m². Dedans, des joueurs s’équipent pour une expérience de réalité rodelle en free roaming, c’est-à-dire que le joueur se déplace librement dans l’espace qui lui est réservé. Il est équipé d’un backpack, d’un casque de VR avec tracking from the inside out, d’un casque audio et enfin de son “fusil”, compact structure métallique sur laquelle se trouve des manettes de VR classiques. Les joueurs peuvent se lancer dans une partie en 4 contre 4 sur un mode de capture d’un point de contrôle et ils semblent convaincus, de cette nouvelle expérience de FPS. Le jeu en lui-même est très simple. Les joueurs sont plongés dans une arène pouvant aller jusqu’à théoriquement 2 km carrés. Ils doivent capturer un point de contrôle et se défendre avec leurs armes. Ils peuvent pneus, équipement de remplacement et chargeur. C’est tout, mais c’est déjà bien assez pour que l’expérience soit amusante. La liberté de mouvement qu’offre la VR dite free-roaming est un énorme plus. Il faut s’adapter à la technologie, certes, mais au bout de trois parties, ainsi qu’aucun soucis, le joueur esthabué. L’équipement est léger et s’oublie rapidement une fois en jeu. Aucune contrainte, on est réellement libre de ses mouvements ! Le seul point négatif à citer serait l’arme, qui n’est pas si simple de Prise en main. C’est basiquement une barre en métal attachée à la manette. Sil’on n’est pashabitué, il faudra un peu de temps avant detirer droit. Quoi qu’il en soit, feel qu’un laser game standard dans retrouv les memes, les décors et l’ambiance en plus. En bref, c’est un grand oui même si le jeu est encore très simple ! Le principe du jeu ne devrait pas changer radicalement, mais les décors et les cartes, elles, probablement plus. Le dispositif est aussi conçu pour les salles d’arcade VR qui apparaissent de plus en plus de nos jours et il s’adapte à l’ambiance de la salle en question. La version que nous avons testée se nomme EVA Stadium, mais une version un peu plus simple est prévue pour le public, de la même manière qu’un bowling, standard example. Elle se nomme aire de jeux EVA. Une dernière version destinée à quatre joueurs ou meme en solo sera EVA Pod. Bref, il y en a pour tous les goûts. Mais l’objectif c’est surtout d’en faire une vraie sport, et c’est à ça qu’est dédié EVA Stadium. En plus des gradins, les joueurs ont sur leur casque une jauge lumineuse indiquant leur vie restante et un aperçu en mode spectateur est nécessaire pour que le public comprenne le déroulement de la partie. Sur le stand de la PGW 2019, deux casteurs s’occupent d’ailleurs de commenter les jeux en direct. Il ya encore un peu de travail à fournir de ce côté-là, on pense par exemple à indiquer clairement au sol les emplacements des murs en jeu, pour comprendre Pourquoi comporter des repères clairs (les quadrillages au sol), pour que les joueurs puissent être bien synchronisés entre leurs déplacements IRL et in game. Il faut aussi laisser la possibilité de changer de carte entre différents tours. Pendentif Rien de bien insurmontable. Toujours du côté technologie, il faut aussi préciser que les pertes d’équilibres ou nausées qui touchent certains joueurs ne sont pas ressentis avec EVA, car le joueur se déplace de la même manière en IRL et dans le jeu. En fait, aucune restriction particulière n’est à noter. Pour des raisons de virence du jeu et de taille du matériel, les joueurs doivent avoir 13 ans et mesurer au moins 1 mètre cinquante, mais technologyment rien n’empêche d’être plus petit. .